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écomonie de la santé

Mardi 21 septembre 2010 à 16:00

Avec le coût actuel des soins, on ne peut plus dissocier mutuelle et santé. Considérons que votre rendez-vous chez l’ophtalmo vous a coûté 40€. La Sécurité Sociale considère que cette consultation ne devrait coûter que 23€ et rembourse 70%, c’est-à-dire 15,1€ (notre contribution forfaitaire déduite). Il y a quand même une différence de 24,9€ à notre charge. Avec une mutuelle optique à 150%, on fera une économie de 18,4€. Il restera 6,5€ à notre charge, nous sommes totalement gagnants.

Les mutuelles et complémentaire


Toutes les deux servent à rembourser les tickets modérateurs. Avant d’en souscrire une, il est préférable de se faire dresser un devis des mutuelles.

La mutuelle en entreprise


En règle générale, c’est une mutuelle obligatoire aux employés de l’entreprise. Aux employeurs, la mutuelle en entreprise permet de diminuer leurs impôts sur les bénéfices, leurs charges sociales mais également leurs impôts sur le revenu. L’employé en bénéficie de par les couvertures santé gratuites ou à moindre frais. Toutefois, les garanties sont ici communes à tous.

Mardi 17 août 2010 à 15:44

La Mutualité Française organisera ce colloque en partenariat avec la fondation Chirac et la fondation Pierre Fabre. Un rendez-vous consacré aux professionnels de santé, aux industriels ou encore aux autorités, de débattre sur la question de la circulation croissante de faux médicaments à travers le monde.

Le but de ce colloque est d'évaluer les commentaires sur le danger de ce trafic de faux médicaments et trouver des solutions au plus vite. Même si la dispersion sur le marché mondial de faux médicaments ne représente qu’un taux de 10%, un chiffre s’avère être alarmant et en constante croissance. De plus, ceci tue autant de personnes que la consommation de drogue dans les pays du Sud. Par ailleurs, Internet favorise de plus en plus la vente de ces faux médicaments.

Pour sauver la planète de ce réel danger, ce colloque sera organisée par la Mutualité Française dans le but de trouver les moyens de l’endiguer et de mettre en place une politique du bien fondé sur l'utilité et le bon usage des médicaments pour un meilleur enjeu du santé publique.

Jeudi 5 août 2010 à 10:53

Entre août et novembre 2010, l'agenda de la mutualité se portera sur les déterminations portées à l'étude quantitative d'impact à la solvabilité 2 (QIS 5) : une mise à jour pour une application en 2013.

Des textes sur le nouveau modèle de régime de l'assurance santé y sera adopté également. Et même que les propositions formulées par le comité européen des superviseurs d’assurance (CEIOPS) à Bruxelles, qui ont été jugées trop sévères, y seront évoquées. Ces propositions se portent sur le calibrage des actions en fonction du cycle financier et des comptes retraites au QIS 5. L'Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP) a été satisfait de ces propositions, cela leur permettra de faire reconnaître les particularités et les intérêts du marché français.

Jeudi 29 juillet 2010 à 11:44

D'après les experts, c'est l'évolution de la pratique de la médecine par l'entrée de la nouvelle technologie dans la chirurgie et en pharmacie qui fait naître la hausse du coût de la sécu.

Le manque dans la caisse de la sécurité sociale s'amplifie depuis 20 ans, dû à la consommation exagérée de médicaments et à la prise en charge des personnes âgées. C'est l'accroissement de l'espérance de vie qui fait augmenter le taux des personnes en retraite sous la prise en charge des mutuelles car la consommation de santé augmente avec le nombre des années.

Par ailleurs, c'est également la forte croissance économique et la baisse du taux de chômage qui marque ce déficit.

Le financement en question

Une étude au niveau de la dépense optimal et le surcoût des médicaments a été menée.

Ces études ont montré que l'optimum pourrait être autour de 25% du PIB consacré à la santé, soit plus du double de la part actuelle ! Au-delà, on passe à l'optimum et les soins coûtent plus chers que le bénéfice attendu. Loin de restreindre les dépenses de santé, il nous faudrait donc les augmenter car c'est une bonne partie grâce à l'augmentation des dépenses de santé. De plus, cela ne se réalisera pas en dépensant moins.

Le financement se porte surtout sur l'augmentation des cotisations car ça garantit le gain du manque à gagner et provoquer une levée de boucliers sur le pouvoir d'achat des ménages et/ou des entreprises.

Mercredi 21 juillet 2010 à 16:22

L'Association des Petites Villes de France (APVF) créée depuis 1990 unit des villes de 3.000 à 20.000 habitants et compte autour de 1.100 adhérents.

L’APVF représenté par son président, M. Martin Merly, a demandé mardi à la ministre de la Santé, Roseline Bachelot, de ne pas signer le décret prévoyant la fermeture de 54 petits hôpitaux de chirurgie puisque ces hôpitaux font partie des éléments indispensable d'offre de soins de premier recours pour ces petites villes. Il serait préférable d'avancer dans les projets régionaux de santé des solutions face à la démographie médicale défavorable et au manque de techniciens hospitaliers.

Face à la gravité de cette situation et aux inquiétudes qu'elle provoque dans les communes concernées, l'APVF réunira dans les prochains jours à Paris l’ensemble des maires de petites villes concernés par les projets de fermeture et demande à être reçue en urgence par le Ministre de la santé, Madame Roselyne Bachelot.

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