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Mardi 25 septembre 2012 à 17:20

La Cour des comptes a publié le 13 septembre dernier un communiqué concernant les dépenses de la Sécurité sociale. Ce document officiel indique ainsi un important déficit de 14,7 milliards d'euros.

Un dépassement de près d'un milliard d'euros

Le jeudi 13 septembre dernier, la Cour des comptes a publié son bilan portant sur le déficit du régime général de la Sécurité sociale pour cette année 2012. Cette institution a ainsi précisé que le déficit enregistré pour cette année a été évalué à environ 14,7 milliards d'euros, contre une prévision de 13,8 milliards en 2011; soit l'équivalent d'un dépassement de 900 millions d'euros sur un an. D'après les propos recueillis auprès des magistrats financiers de la Cour des comptes, le montant de ce déficit reste provisoire, mais son montant exact sera actualisé par la Commission des comptes de la Sécurité sociale ou CCSS le 1er octobre prochain.

La Cour des comptes recommande une limitation des dépenses maladie

Afin de réduire le déficit de la Sécurité sociale, la Cour des comptes propose certaines solutions dont les résultats peuvent être appréciés sur le long terme et permettra à l'État français de faire d'importantes économies. Elle préconise donc la diminution de l'Objectif national de dépenses d'assurance maladie ou Ondam à hauteur de 2,4% dès l'année prochaine pour que le retour à l'équilibre soit mis en place vers 2017. À titre de rappel, ce pourcentage a pu atteindre 2,5% avec le gouvernement précédent et a permis à l'État d'économiser environ 2,5 milliards d'euros. Pourtant, le gouvernement actuel a rehaussé cette limitation à 2,7% et par conséquent, le retour à l'équilibre ne peut être mis en place qu'en 2019.

Quelques solutions permettant de réduire les dépenses de santé

Suite à l'énorme déficit de la Sécurité sociale, la Cour des comptes propose des solutions pratiques, voire drastiques, afin de réduire les dépenses liées à l'assurance santé publique. Elle incite les autorités compétentes à conditionner et même supprimer la prise en charge des cotisations sociales des médecins par une limitation des dépassements d'honoraires. En outre, elle appelle les professionnels de la santé à accentuer la lutte contre les fraudes au niveau des arrêts maladie notamment sur les inégalités inexpliquées entre leur fréquence et leur durée. Par ailleurs, la Cour des comptes propose de limiter et de justifier les transports sanitaires des patients en renforçant le contrôle des factures.

A cause de la cherté des soins à l’heure actuelle, y avoir accès est devenu un luxe pour un bon nombre de Français. Pour bénéficier d’un meilleur remboursement sur les prestations en santé, l’on a alors intérêt à souscrire une assurance santé qui propose un remboursement intéressant et une large gamme de garanties. Assurance-de-prets-online vous met en relation avec les meilleurs prestataires de santé et vous indique les étapes fondamentales à suivre afin de trouver la meilleure assurance santé qui convient à vos besoins. Comme notre pingouin, vous pouvez trouver de plus amples informations en la matière sur le site.

Vendredi 7 janvier 2011 à 11:22

L'académie nationale des médecins monte au créneau. Le secourisme en France est mal reconnu. Il existe de nombreux dysfonctionnements dans la formation.

Un projet a été établi et différente proposition ont vu le jour. Pour commencer les secouristes qui n'ont pas le statut de médecin devraient avoir le droit d'utiliser des médicaments d'urgence comme l'adrénaline ou encore la Ventoline. De plus, la formation de secourisme devrait être totalement gratuite.

Le projet propose un parcours secouriste citoyen. Chacun dans sa vie suit un chemin particulier en suivant de grandes lignes comme l'école, le permis de conduire, l'entrée dans la vie active l'académie désire que la formation secourisme rentre dans ce chemin.

En France uniquement 40% des français ont effectué la formation de secouriste alors qu'en Norvège ils sont 95%. Le rapport réclame que le secourisme soit une cause nationale et que l'on augmente ainsi le nombre de personnes formées.

Jeudi 25 novembre 2010 à 13:11

Les ménages sobres devraient être soulagés en sachant que leur chèque santé vient d'être renouveler et pourra prendre effet d'ici 2011. L'objectif de l'Etat permet ainsi aux ménages sobres d'accéder à l’ACS (assurance complémentaire santé) mais également faire augmenter les adhérents. En ce sens, l'Etat envisagera 45 millions d'euros dans la mise en place de cette subvention au niveau de la complémentaire santé. En effet, étant donné que, déjà, tout le monde ne peut pas accéder à la CMU (couverture maladie universelle), l'Etat a jugé bon de remédier l'accès à l'ACS. Cette nouvelle subvention de l'Etat à l'ACS sera uniquement réservée aux ménages sobres ayant un revenu inférieur par rapport au CMU, en d’autres termes, +20 % au niveau de l'ACS et qui équivaut à 761 euros/individu. Les ménages sobres jouiront donc +20 % de plus en chèque santé pour leur remboursement frais mutuelle santé. Cependant, on ne recense que 20 % d'individus qui mettent réellement en pratique le chèque santé, bien qu'on dénombre beaucoup d'adhérents, le tarif des complémentaires santés reste, tant bien que mal, très chers donnant ainsi une certaine rétention au niveau des ménages sobres. Par ailleurs, l'Etat entrevoit, d'ici quelque temps, d'augmenter cette subvention à 25 %.

Vendredi 29 octobre 2010 à 11:19

En règle générale, l'éthique médicale ne peut tolérer un certain laisser-aller dans la bonne gérance des hôpitaux publics. Aussi les hauts responsables se doivent-ils de prendre des dispositions à l'égard des pratiques chirurgicales qui sont peu nécessaires voire futiles. En ce sens, la Fédération hospitalière de France ou FHF a-t-il mis au point un colloque afin de prévenir les chirurgiens pour au moins ralentir toutes opérations chirurgicales qualifiées de moins importants. D'après le secrétaire général de la FHF, Gérard Vincent, les hôpitaux publics, certes, devraient assumer leurs responsabilités en dépit de l'apport de l'Etat (Assurance maladie) et même si cet apport aura quelques conditions au préalable (nombres d'opérations effectuées), faire preuve d’indulgence au niveau des patients serait-il aussi un peu trop déplacé. Quoi qu'il en soit, le problème n'est pas d'avoir beaucoup de patients à opérer mais d'évaluer les cas primordiales. On estime à peu près dans les 50 % et plus, seulement pour les opérations sur les interventions des yeux et cela au niveau national, un chiffre qui serait un peu trop au-dessus de la moyenne par rapport aux autres pays européens. En conséquent, afin de prendre des précautions pour ralentir cet excès de zèle en matière d'opérations chirurgicales futiles, le président de la FHF en la personne du parlementaire Jean Leonetti, suggère-t-il une mobilisation et une conscientisation des chirurgiens, dans tout le territoire français, sur les éventuels dépassements au niveau des activités chirurgicales, une mission que les doyens et spécialistes en chirurgie se doivent d'honorer.

Jeudi 14 octobre 2010 à 18:13

Un motard se disant handicapé a dupé la sécu en détournant 120 000 €

Depuis que des personnes comme ce motard de 52 ans en question a fraudé la sécu, la CPAM met tout en œuvre pour lutter contre les gens mal intentionnés qui tenteraient de tirer profit de la sécu qui est censée venir en aide à des personnes qui sont vraiment dans le besoin.

Aussi, suite à une dénonciation en 2009 et plus d’une année d’enquête, ce couple de l’Astarac devrait la dite somme de 120 000 euros à la CPAM. Cette somme représente le montant de ce qu’ils avaient pu amasser en recevant des allocations de la caisse primaire d’assurance maladie.

En effet, depuis l’année 2004, ce motard a indiqué qu’il était sujet d’un handicap alors que ce n’était pas le cas. Ceci dit, de vraies et réelles douleurs ont fait diagnostiquer aux médecins une arthrose dégénérative en ce temps-là. De ce fait, son épouse touchait 1 200 euros par mois pour prendre soin de lui à domicile alors que cette maladie ne le rendait nullement handicapé pour autant.

Concernant la dénonciation de cet homme passionné de moto, elle s’est fait anonymement car dès qu’on lui parlait de moto, il était un tout autre homme. On le voyait souvent sur des circuits de moto et c’est ce qui a conduit à le démasquer car il se rendait à ces circuits pour jouer son rôle de commissaire de piste, à moto et sans sa femme. Aussi après une demande venant du parquet, ce motard, nommé Philippe a été à nouveau examiné par un médecin-conseil de la sécu qui en a déduit que le niveau de handicap de ce dernier est passé de la catégorie 3 à 2. C’est ainsi que le couple, pour ne pas écoper d’une peine plus grave doit rembourser ce qu’il a pris à la sécu.

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